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La Baie du Courrier

Diégo Suarez, septembre 2023

La baie du Courrier vue depuis le Madiro Kitamby

AMPASINDAVA

Le village d’Ampasindava s’atteint en 1h30 de pick-up depuis l’aéroport de Diégo Suarez par une mauvaise piste. Du côté du Canal de Mozambique, la vue s’étend jusqu’à l’archipel de Nosy Harara.


Le Lodge d’Ampasindava

Ouvert uniquement du jeudi au dimanche [!], le Lodge d’Ampasindava est un des deux seuls hébergements de cette partie de Madagascar.


LE MADIRO KITAMBI

Installé sur l’autre côté de la baie, la Madiro Kitamby n’est accessible qu’en bateau. C’est le point de départ pour la randonnée au Windsor Castle et le bivouac sur Nosy Harara que David organise.


Le Windsor Castle

Point de vue à 360° depuis ce piton où était installé un poste d’observation militaire.


L’ARCHIPEL DE NOSY HARARA

Une quinzaine d’îles rocheuses frangées de plages de sable blond s’étendent au large de la baie du Courrier.

Nosy Anjambavola

Premier arrêt sur des ilôts pour déjeuner et plonger.

Nosy Harara

L’île principale est classée parc national. un camp est installé sur une des deux plages. L’intérieur est constitué de tsingy (formations rocheuses eux formes étranges) piquetés de pachypodium en fleur à cette époque de l’année.

Le bivouac sur la plage d’Anjavavy (Nosy Harara)

David est ses deux aides nous installent les tentes et les hamacs pour deux nuits. Excellent cuistot, ils nous prépare poissons, langoustes et petits déjeuners avec du pain grillé.

Randonnée sur Nosy Harara

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Jours tranquilles à Tranquebar

De son passé mouvementé de comptoir de la Compagnie danoise des Indes orientales , Tharangambadi  (de son nouveau nom tamoul), a conservé un fort européen, plusieurs bâtiments à colonnes réaménagés en hébergement ainsi qu’un ancien champ de manœuvres militaires où les familles indiennes se retrouvent au coucher du soleil pour manger des glaces ou galoper sur de petits chevaux nerveux.


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Pondichery, en blanche et noire

Quatre rues en largeur, une douzaine en longueur, un front de mer, voici à quoi se résume la “ville blanche” de Pondichery, ce mythe dont les écoliers français apprenaient le nom par cœur avec “Karikal, Yanaon, Mahé et Chandernagor”, confettis d’un rêve d’Empire. La “ville noire”, tamoule, bruissante de klaxons s’étend de l’autre côté de la rue du Canal, un égout à ciel ouvert qui la sépare du chic colonial des bâtiments historiques du quartier français. 

 


 

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