En ce mois de février 1993, le Cambodge sort à peine du conflit entre les forces vietnamiennes et les Khmers Rouges qui contrôlent encore les zones rurales. Le pays est sous l’autorité d’une force spéciale des Nations-Unies (APRONUC).
En transit entre Saïgon et les temples d’Angkor, l’avion est fortement conseillé. Des véhicules sautent encore sur des mines disposées sur la piste qui conduit vers le nord. En 1994, 3 occidentaux pris en otage par les Khmers-Rouges seront exécutés.
Déjà la forêt de deux-roues aux feux rouges
Hélicoptères sur le tramac et la poussière de l’aéroport de Pochentong
Vendeuse de nourriture de rue
Une image fixe collée sur un vieux téléviseur
Un deux-roues pour trois
Véhicule de la force de l’ONU au Camodge chargée de faire respecter les accords de paix de 1991
Phnom Penh est en 1993 une ville de béton. La plupart des rues ne sont pas asphaltées et l’électricité est fournie par des groupes électrogènes installés au pied des immeubles. A la tombée du jour, la poussière et la fumée des échappements confère à l’ensemble une dimension légèrement apocalyptique.
L’aéroport de Phnom Penh
A l’aéroport de Pochentong, on nous échangera un billet de 100 dollars contre une carte d’embarquement . Pas de billet, pas d’enregistrement. La vie simple.
Aéroport International de Phnom Penh, ភូមិកាកាប, រាជធានីភ្នំពេញ, Cambodge
Phnom Penh, រាជធានីភ្នំពេញ, Cambodge
Aéroport International de Phnom Penh, ភូមិកាកាប, រាជធានីភ្នំពេញ, Cambodge